Lilith and Co
« Les Vieux rêves virevoltent encore avec malice
Et les Anciens mondes sont à peine engloutis
Des Ombres planent encore sur le Jardin des Délices
Et Lilith n’est pas tout à fait endormie… »
« Les Vieux rêves virevoltent encore avec malice
Et les Anciens mondes sont à peine engloutis
Des Ombres planent encore sur le Jardin des Délices
Et Lilith n’est pas tout à fait endormie… »
à accélérer au montage des mouvements et actions réalisées
au ralenti, créant ainsi une accélération de l’environnement
dans lequel évolue le protagoniste.
de la lenteur. Il trouve son sens également dans les performances
« La Machine à prendre le Temps » est une série de courtes vidéos
mettant en scène un personnage dans divers lieux et situations
où le temps s’affole autour de lui. Le procédé utilisé consiste
Ce projet suggère ainsi l’urgence de ralentir en faisant l’éloge
elles même, réalisées au ralenti dans l’espace public, seul ou en groupe.
Reliance, Résiliance
Depuis 2019, j’intègre des élèments de nature (bois, racines...)
à mes sculptures en terre. Le lien et les racines se mêlent.
Le fil sort du papier et de l’atelier et va rejoindre les racines :
le land art s’impose comme une évidence. Les installations
mélant nature (le bois) et culture (le fil) parlent toutes à leur manière
de réparation du lien : à soi, à l’autre, aux élèments de nature.
Les racines que je crée, recrée ou consolide, les fils que je déploie,
sont des actes de réparation : des témoignages de résilience.
Mouvement
J’étudie le mouvement, la danse, pour signifier le partage,
la rencontre. La technique de la gravure me permets
de jongler avec plusieurs matrices et créer de multiples
combinaisons et jouer avec les mêmes formes,
en réalisant diverses compositions. Comme une partition musicale.
Le corps humain, les animaux, les végétaux se combinent,
se confondent , au point de leurs ressemblances
et de leur harmonie.
Course en avant / Exode arctique /
Débandade / Panique / Les moments de la vie
Après avoir réalisé plusieurs sculptures
sur le mouvement dans l’immobilité, mon travail actuel
interroge le monde au travers de sculptures
de groupes d’individus confrontés à des évènements.
Cellule
«Exister» : c’est vivre.
Nous sommes fait de chair et de sang;
Mon travail a cherché la quintessence invisible
de ce flux vital pour tenter
de lui donner une expression picturale.
1. The seed 2. Resistance to death
3. The Offspring 4. Restitution I 5. Restitution II
Toujours intéressé par les traits du visage,
j’explore les expressions du regard et les créatures
anthropomorphes en utilisant le crayon et le papier.
Depuis deux ans je travaille l’huile sur toile
avec des couleurs terreuses qui imite
à la fois la nature et la peau humaine.
LA POÉSIE VOUS EMMERDE
Les photos collages dessins mettent en scènes
des énoncés triviaux sur la poésie. C’est le rapport entre l’énoncé
et sa mise en situation, toujours décalée, transgressive
ou drôle qui fonde la démarche. «Exister»,
dans le sens de la poésie, c’est «faire», agir, réagir en tant qu’artiste
dans les situations les plus incongrues,
les moins attendues Ici la poésie s’occupe de tout et surtout
de ce qui ne la regarde pas et de fait elle «vous emmerde»
et n’entend pas être réduire à l’image un désuète qu’on en sait...
Aqua-Ba Ashanti / B. Chanelle / C. Santa /
D. Ysa Bella « White Lake 1969 » / Gabriella-Natividad
Très figuratives au commencement, mes sculptures
sont devenues totalement imaginaires, alliant ma conception,
mon ressenti du végétal, de l’architectural et du musical…
Une sorte de « quête » de la féminité,
ce que je nomme la Féminitude.
Enfin, une place essentielle faite au Vide.
On peut dire que ces sculptures sont pleines de vide.
Je considère le vide comme une matière à part entière
et un élément constitutif de mes pièces.
Fière de l’être /
Une femme / Une artiste / Une âme
C’est une quête, un cheminement :
le mien, mais pas si personnel qu’il n’y parait.
Il y a 3 niveaux, 3 étapes, du terrestre vers le spirituel,
du visible à l’invisible, de l’extérieur vers l’intérieur.
Série : Bac ou la vie ailleurs
La couleur a toujours été au centre ma quête
esthétique. Les formes particulièrement sinueuses,
configurent les personnages de mes tableaux.
L’acrylique sur bois, sur carton et sur toile
sont les territoires de mes représentations.
L’Existence des fils
Exister c’est tout à la fois
Sentir notre exception et Porter notre semblance
Incarner le soi et Faire corps avec l’autre
Prendre chair et Être mu par le trait
Habiter un volume et Éprouver le vide
Dans L’Existence des fils, l’idée est de témoigner
de cette confrontation perpétuelle entre le soi et le nous,
entre le plein et le vide, entre la force du nombre
et la fragilité de chacun.
J’écris au fil de mes pensées, en changeant de pinceau,
de calame, de couleurs. Quand j’arrive en bas de mon support,
je reviens en haut et ré-écris jusqu’en bas, ainsi des dizaines,
centaines, milliers de fois selon mes travaux.
Ma démarche emprunte à la marche de longue durée.
Les gestes d’écriture s’empilent et à la longue façonnent
un chemin de pensée ; Mon travail est en général
illisible, car ce qui compte pour moi est l’enchevêtrement imprévisible
des formes, ce qui compte est la matière visuelle de mémoire.
L’échelle de Jamus / Enseigne Exister.
Chemin d’existence
« Exister » est-il une hallucination visuelle ;
nous existons car d’autres ont existé
par le passé et les images s’entrecroisent
et nos vies sont le reflet d’autres rêves accomplis ou non.
Projets d'installation sur le thème
à la maison du citoyen à Fontenay-sous-bois
Exposition Collective 2022 "exister" du 12 avril au 29 avril 2022 Vernissage le 12 avril partir de 18h30 à la maison du citoyen à...